Pourquoi entreprendre une reconversion ?
Je me lève à 6h30, je me prépare puis m’engage dans une heure d’embouteillages avant de commencer ma journée. La journée parlons-en, toujours les mêmes clients au téléphone, les mêmes questions, les mêmes points chiffres avec mon N+2, sans oublier les mêmes problèmes d’impayés que la compta me présente gentiment sur mon bureau, ou encore les problèmes de livraison que le service client me dépose au-dessus de la pile de dossiers… Les jours passent et se ressemblent, rythmés par mes pauses café et mes galères d’embouteillages, voici mon quotidien depuis 4 ans.
Depuis 4 ans, la motivation et le plaisir ont laissé place à la lassitude. Les tâches que je faisais (presque) avec entrain, sont aujourd’hui des tâches que je subis. Scotchée à l’horloge, je ne rêve que d’une chose : terminer ma journée.
Un contexte favorable : l’occasion à saisir
Un jour, un virus issu d’un laboratoire ou d’un marché chinois (qui sait le dire) vous plonge dans une crise sanitaire sans précédent, chômage partiel, confinement, atmosphère oppressante, stressante… C’est dans cette ambiance particulière, enfermée entre quatre murs, que je commence à cogiter.
Très vite, je me rends compte que tout ça ne rime à rien, mon quotidien ne me plaît plus, je n’aime plus ce que je fais, mais surtout, je ne me vois pas continuer ces mêmes journées pendant les 30 prochaines années. Mais alors, que faire ? Subir ou partir ?
Après réflexion, j’ai vite compris que deux solutions s’offraient à moi :
- Changer d’employeur : oui mais pour aller où ? Ayant travaillé pour 4 employeurs en 12 ans, j’ai souvent rencontré les mêmes problématiques…
- Changer de métier : oui mais pour faire quoi ? Je ne sais pas faire autre chose que le métier que j’exerce…
Le grand saut : un pas vers l’inconnu
Se lancer dans une reconversion professionnelle est une décision difficile à prendre qui demande beaucoup de réflexion et de soutien de ses proches. Mais qui requière avant tout, une motivation sans faille !
La reconversion professionnelle n’est pas de tout repos, c’est un peu comme faire le grand saut et plonger tête baissée vers de nouvelles aventures, de nouveaux objectifs et challenges, en laissant derrière soi ses petites habitudes et sa zone de confort.
Mais à quoi bon rester là, par peur du changement, si je n’aime plus ce que je fais ? C’est décidé, le grand saut, je le ferai !
Tout quitter pour devenir community manager
Changer de carrière oui, mais perdre toutes mes compétences acquises en 12 ans non !
Je tenais à trouver un métier où mon relationnel client, ma polyvalence et mon organisation pouvaient être “ré-utilisés”. Il me fallait également trouver un métier porteur, car les factures elles, seront toujours là, et pas question de choisir un métier sans avenir.
J’ai alors fait appel à mon oracle préféré : Google.
De manière non exhaustive, sans compter les heures, me voilà à la recherche de mon futur métier… “Métier porteur 2021”, “reconversion professionnelle”, “bilan de compétences”, “quel métier choisir”, “formation rapide pour adulte”… J’ai parcouru des dizaines d’articles, certains plus intéressants que d’autres, et parfois (souvent je l’avoue) en me perdant sur Instagram à regarder des vidéos de chats, de chutes, de danse, le tout, entrecoupées de publicités.
Mais d’ailleurs, qu’est-ce que j’aime vraiment ? Qu’est-ce qui me fais vibrer ? Commencer une nouvelle vie ok, mais l’idée c’est que je puisse trouver un métier dans lequel je puisse réellement m’épanouir… Et s’il était possible de lier l’utile à l’agréable, ce serait le jackpot ! 🔥
Famille, chats, jeux vidéos, Netflix, cinéma, sortir entre ami.e.s, nouvelles technologies… (je sais ce que vous vous dites : une vraie geek celle-ci, et vous avez raison !), les nouvelles technologies, c’est vrai que j’aime vraiment beaucoup ça… Je tiens une piste ! Je creuse et je tombe sur des fiches de postes parlant de Community Management.
Un métier qui attise directement ma curiosité… Je crois que ça y est j’ai un projet de reconversion !
Pourquoi choisir IMCI Formation ?
Ce métier étant “tendance”, la liste des établissements proposant cette formation est assez longue… Ne voulant pas faire de mauvais choix, j’ai préféré lister mes critères indispensables à retrouver dans la formation que je suivrais.
Je suis partie du principe que je recherchais une formation qui proposait :
- un apport théorique et pratique (stage),
- un financement par CPF,
- une durée assez courte (6 mois max),
- une formation réalisable en présentiel,
- une certification reconnue par l’état (RNCP).
Un par un, j’ai consulté les résultats Google de la première page (on va rarement au-delà), et plusieurs noms de centres de formation se sont affichés, mais un en particulier est véritablement sorti du lot. Moins généraliste et spécialisé en communication sur internet, il rassemblait tous les critères listés ci-dessus. (oh yes ! 🤩)
Et en bonus, le centre sur lequel j’avais flashé détenait bien d’autres avantages comme le fait de travailler avec des professionnels en exercice, une note Google My Business très bonne (4,7/5) ainsi que de nombreux témoignages d’anciens étudiants, notamment en reconversion, comme moi.
Il ne m’en fallait pas plus pour décider de le choisir comme mon centre de formation ! ✅
IMCI Formation et Moi
Depuis janvier 2022, j’ai intégré la formation Devenir Community Manager à Paris pour une durée de 3 mois. J’ai tenté de suivre mon intuition et d’apprendre un nouveau métier grâce à cette formation intensive de 420h.
A l’heure ou je vous partage mon témoignage, je suis encore en formation et plus précisément en stage chez DLinfo. C’est la dernière ligne droite avant mon passage à l’examen final. L’occasion pour moi de mettre en pratique mes acquis théoriques au sein d’une entreprise dans laquelle j’exerce en tant que community manager ! (fierté 🙌🏼)
Ma nouvelle vie ne fait que de commencer et le meilleur reste à venir ! A bientôt, pour la suite de mes aventures…
Pour aller plus loin :
Tous nos Avis Google et témoignages d’étudiants juste ici
Détail de la Formation Community Manager : durée, rentrée, tarif, programme
